Navigation

L’arme fait-elle le criminel en puissance?

«Le problème n’est pas l’arme, mais celui qui s’en sert», répondent les collectionneurs, les chasseurs et les tireurs sportifs. «L’occasion peut faire le larron», rétorquent ceux qu’alarme la régularité des tueries, drames familiaux et suicides par balle. Et vous, qu’en dites-vous?

Ce contenu a été publié le 01 février 2013

Aux Etats-Unis, on achète son «gun» au supermarché. Au Japon, les armes sont sévèrement interdites. Entre ces deux extrêmes, la législation varie beaucoup d’un pays à l’autre. Le lien entre possession d’armes et violence armée est toujours sujet à discussion, aucune étude définitive n’ayant réussi à l’établir de manière certaine. La détention d’armes en temps de paix est-elle un facteur de risque? Ou alors, fusils et pistolets sont-ils de légitimes objets de collection, de sport ou d’auto-défense? Votre avis nous intéresse.

En conformité avec les normes du JTI

En conformité avec les normes du JTI

Plus: SWI swissinfo.ch certifiée par la Journalism Trust Initiative

Joignez-vous à la discussion

Les commentaires doivent respecter nos conditions.
Trier par

Changer le mot de passe

Souhaitez-vous vraiment supprimer votre profil?

Votre abonnement n'a pas pu être enregistré. Veuillez réessayer.
Presque fini... Nous devons confirmer votre adresse e-mail. Veuillez cliquer sur le lien contenu dans l'e-mail que nous venons de vous envoyer pour achever le processus d'inscription.

Les meilleures histoires

Restez au courant des meilleures histoires de swissinfo.ch sur différents sujets, directement dans votre boîte mail.

Hebdomadaire

Notre politique de confidentialité SSR fournit des informations supplémentaires sur le traitement des données.