Lorsque le mauvais temps se répand sur l'alpage, il y a peu de choses à faire. Si ce n'est patienter dans les chalets d'alpage, jusqu'à ce que Saint Pierre change d'avis. Verner Soler
Vue sur une partie de la vallée de Lugnez («la vallée de la lumière»). Verner Soler
300 ans que cette vieille maison, suspendue dans les Alpes, accueille en son coeur des discussions animées, tournant principalement autour de la météo. Verner Soler
Détail architectural d'une maison de Vrin. Verner Soler
Ma mère effectue une pause lecture sur le «pügna», le fourneau en pierre à savon. Verner Soler
Vue de Pardatsch, hameau situé sur la commune de Vrin. Verner Soler
Un tas de fumier parmi les habitations. Verner Soler
Une «canastra», corbeille réalisée à la main et utilisée autrefois pour transporter le foin aux animaux. Verner Soler
La plupart des épouvantails ont disparu en même temps que les champs cultivés, il y a environ quarante ans. Durant quelques années, on pouvait encore en apercevoir quelques uns dans les champs de pommes de terre. Mais aujourd'hui seule une poignée de paysans cultivent des patates. La plupart des gens les achètent au magasin. Verner Soler
Pendant la coupe d'herbe mon père fait une sieste méritée. Verner Soler
Paysage dans les environs de Vrin. Verner Soler
Peu de personnes possédent des chèvres. En été elles occupent les pâturages, mais en hiver, elles restent au village. Verner Soler
La neige a étendu son blanc manteau. Verner Soler
Dans les montagnes, l'alpage qui domine le village est l'endroit où les paysans font paître leur bétail du printemps à l'automne. L'endroit sur l'image a été habité jusqu'au début du XVIIIème siècle, avant qu'il ne cesse d'être un village. Et devienne seulement un regroupement de chalets d'alpage. Verner Soler
Le photographe Verner Soler, établi à Los Angeles, tire le portrait de Vrin.
Ce contenu a été publié le 24 septembre 2010 - 13:38
Les visites ponctuelles à Vrin (dans le canton des Grisons) ont apporté à Verner Soler une vision accélérée des changements qui se sont produits depuis plusieurs années au sein de son village d'origine.
La majorité des techniques d’agriculture que le photographe a pu voir et exercer lorsqu’il était plus jeune, sont en train de disparaître. Alors, Verner Soler s’est senti appelé à fixer les vestiges d’une époque bientôt révolue, avant qu’ils ne s’évaporent complètement.
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