Pour son début de saison, le Théâtre du Grütli privilégie la danse
La danse et les auteurs anglo-saxons contemporains sont à l’affiche de ce début de saison au Théâtre du Grütli, à Genève. Le choix émane du nouveau directeur artistique, Philippe Lüscher.
Philippe Lüscher a présenté mardi sa première demi-saison à la tête du Théâtre du Grütli à Genève. D’ici la fin de l’année, deux créations romandes de pièces d’auteurs anglo-saxons ainsi que plusieurs spectacles de danse sont à l’affiche.
En collaboration avec le Festival de la Bâtie, le Théâtre du Grütli a choisi de présenter la création de la chorégraphe genevoise Laura Tanner, «Sculpter l’ombre», ainsi que celle de la Portugaise Vera Mantero, «Poesia e selvajeria» (Poésie et sauvagerie).
Philippe Lüscher accueillera ensuite le chorégraphe lausannois Gilles Jobin et son dernier spectacle «Braindance», créé à Lausanne et présenté au Festival des arts vivants de Nyon. Une oeuvre où la danse s’aventure entre l’obscène et le sacré.
D’ici la fin de l’année, le public genevois pourra encore découvrir deux pièces d’auteurs anglo-saxons : «Decadence» de l’Américain Steven Berkoff, mise en scène par Daniel Wolf, et «Joyeux Noël» du Britannique Alan Ayckbourn, mise en scène par David Bauhofer.
(SRI avec les agences)

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