Oublier les monuments, les hauts-lieux parisiens, et même la foule, pour ne plus prêter attention qu'aux couleurs qui font la Ville lumière... (Images et texte: swissinfo, Bernard Léchot) swissinfo.ch
Commencer en sous-sol, par le blanc des carrelages dans les couloirs du métro swissinfo.ch
avant de rejoindre la surface: Paris, camaïeux de beiges et de gris swissinfo.ch
gris des toits swissinfo.ch
et gris-blanc du ciel swissinfo.ch
un ciel qui, au-dessus des cheminées oranges, sait aussi être bleu. swissinfo.ch
le bleu qui, sur les fameuses plaques de rues parisiennes, jouxte le vert bouteille swissinfo.ch
un vert que l'on retrouve sur les célèbres caissons des bouquinistes et dans l'eau de la Seine, «glauque», c'est-à-dire d'un vert tirant sur le bleu swissinfo.ch
alors que le vert des nombreux chantiers est plus tendre swissinfo.ch
il y a le mauve des tickets de métro, qui, pendant longtemps, furent jaunes swissinfo.ch
et le rouge moleskine des vieux bistrots swissinfo.ch
ou le rouge sombre et les reflets métallisés d'une trouble vie nocturne swissinfo.ch
rouge et métal... comme les phares et les carrosseries des voitures qui, en fin d'après-midi, transforment Paris en chaos bruyant et immobile. swissinfo.ch
Beige, gris, vert, bleu, blanc, rouge... les couleurs de Paris
Ce contenu a été publié le 26 septembre 2009 - 14:25
Oublier les monuments, les hauts-lieux parisiens, et même la foule, pour ne plus prêter attention qu'aux couleurs qui font la Ville lumière... (Images et texte: Bernard Léchot, swissinfo.ch)
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