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«Je ne me laisse instrumentaliser par personne»

Près de 500 observateurs électoraux de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe accompagnent ce week-end la présidentielle russe. La députée socialiste Margret Kiener Nellen en fait partie. Avant de partir pour Moscou, elle a livré a swissinfo.ch son regard sur sa mission.  

Ce contenu a été publié le 18 mars 2018

Margret Kiener Nellen appartient depuis 2013 à la délégation des observateurs électoraux suisses. Elle suit les élections présidentielles russes dans la ville de Volgograd, dans le sud du pays, où elle visitera une quinzaine de bureaux de vote. 

Si la réélection de Vladimir Poutine est jouée d’avance, il est néanmoins important de contrôler le processus électoral, estime la députée du Parti socialiste (PS). Si elle avait le sentiment d'être instrumentalisée par le président russe pour donner l’impression que tout se déroule démocratiquement, elle «ne se rendrait pas en Russie comme observatrice de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).» 

60 observateurs à long terme ont déjà été envoyés en Russie en février. Ils sont chargés non seulement d’observer le jour du scrutin mais aussi la campagne électorale et sa couverture médiatique. L'OSCE accompagne les élections en Russie depuis 1996.

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