L’événement provoque la colère et rappelle l’existence d’un prolétariat misérable qui travaille ici, et ailleurs en Asie, pour que les marques de textile et de chaussures puissent casser les prix.

L'industrie du vêtement impose à des centaines de millions de travailleurs des conditions proches de l’esclavage. Ces employés plus que précaires travaillent autant pour des productions locales que pour des marchandises vendues en Occident.

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