Le numéro un bancaire suisse aurait livré ces dernières semaines aux autorités hexagonales les dossiers de quelque 300 clients fraudeurs potentiels, selon la «SonntagsZeitung». Les dossiers sont en cours d'examen par les autorités judiciaires françaises, qui, selon le journal dominical, poursuivent leurs pressions pour obtenir des informations sur les fortunes non déclarées, le nombre et le nom des collaborateurs concernés.

Les clients n'ont pas été informés de cette procédure, conformément à une nouvelle législation en vigueur depuis le 1er août 2014, et n’ont aucune possibilité de recours. 

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