Agbogbloshie: la décharge électronique du Ghana
Ce contenu a été publié le 27 mars 2022
Les déchets électroniques font vivre des milliers de personnes au Ghana, mais constituent aussi un risque pour la santé et la sécurité pour celles qui travaillent dans le secteur de la ferraille et du recyclage.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, les personnes, dont le but est de récupérer des matériaux précieux dans les déchets électroniques, tels que le cuivre et l’or, risquent d’être exposées à plus de 1000 substances nocives, dont le plomb, le mercure, le nickel, les retardateurs de flamme bromés et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
Les commentaires ont été désactivés pour cet article. Vous pouvez trouver un aperçu des conversations en cours avec nos journalistes ici. Rejoignez-nous !
Si vous souhaitez entamer une conversation sur un sujet abordé dans cet article ou si vous voulez signaler des erreurs factuelles, envoyez-nous un courriel à french@swissinfo.ch.